Du polystyrène a été fondu avec de l’acétone dans le but d’obtenir une pâte malléable. Elle est appliquée sur des fruits de manière à les recouvrir totalement. En séchant, le plastique
vient former une coque rigide qui conserve la forme du fruit avant qu’il ne pourrisse.

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Je suis parti d’un échantillon de la pièce Encore vivant pour réaliser cette pièce. En pourrissant, la banane se rétracte à l’intérieur de la coque en polystyrène, laissant un vide que
je viens combler par de la résine ‘crystal’. Je retire ensuite le moule, découvrant une banane contenue dans sa propre forme. Le processus de décomposition s’arrête, les vers qui grignotaient le fruit se retrouvent figés dans la résine.

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Du polystyrène a été fondu à l’acétone, donnant une pâte malléable. Elle est ensuite appliquée sur des morceaux de branches d’arbres protégées préalablement. En séchant le plastique durcit et vient prendre la forme des branches.

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Gros plan sur un œuf se fissurant dans l’eau. Le blanc coagule jusqu’à former une écume blanche opaque à la surface de l’eau.

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Une fois la pièce Proxémie activée, le gazon tondu est récupéré. Je procède à une extraction de la chlorophylle, puis mélange la pâte obtenue à un liant acrylique. Chaque activation apporte une couche de peinture supplémentaire.

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Une pièce qui pousse, contrainte par l’espace limité de ce qui la porte. Avant son exposition le gazon est tondu afin de laisser une odeur d’herbe.

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Devant l’atelier se trouvait une fourmilière abandonnée faite à l’intérieur d’un morceau de
polystyrène. Une fois accrochée, certaines fourmis sont sorties, créant ainsi de nouvelles interactions
entre les pièces.

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